Un retour vers le passé (ou retour au passé) est un programme du superordinateur, habituellement utilisé par Jérémie, qui permet de reculer de 24h dans le temps, et que les Lyoko-Guerriers utilisent pour réparer les éventuels dégâts causés par les attaques de XANA et effacer la mémoire des témoins indésirables.
Les personnes virtualisés ou dont la mémoire est enregistrée dans celle du superordinateur (en l'occurrence, les Lyoko-Guerriers, XANA et Franz Hopper) sont immunisés, et gardent donc tous leurs souvenirs.
Il est dit dans l'épisode 26 (Faux départ) que le retour vers le passé ne peut pas ressusciter les morts, même s'il peut sauver ceux qui sont en train de mourir suite à des blessures (comme Yumi dans l'épisode 58 Le prétendant).
Le gros défaut de ce programme est révélé dans la saison 2 : Chaque retour dans le passé rajoute un nouveau bit quantique (qubit) ce qui augmente de façon exponentielle la puissance de calcul du superordinateur, ce qui par extension renforce la puissance et l'intelligence de XANA... On comprend alors en quoi toutes les attaques de XANA dans la saison 1 sont assez facilement résolvables : XANA cherchait de la puissance quantique pour se développer. Il ira même jusqu'à prendre le contrôle du programme avant que Jérémie ne contre XANA.
Maintenant tous les Lyoko-Guerriers peuvent utiliser le retour vers le passé, notamment Ulrich dans la saison 2, épisode 35, Les jeux sont faits, qui en effectue un sans l'autorisation de Jérémie. En effet, depuis que Jérémie a compris que ce programme renforçait XANA, la règle d'or de l'équipe est d'utiliser le strict minimum de retour dans temps.
Dans la saison 1, le retour vers le passé semblait pouvoir être automatisé : dans l'épisode 17 (Musique mortelle) notamment, Jérémie a entré les coordonnés de retour dans le temps avant de tomber en catalepsie et une fois la tour désactivée le programme s'est déclenché tout seul. C'est tout le contraire dans la saison 4 où à chaque fois que Jérémie était absent du le labo (comme dans les épisodes 78 ou 90) il fallait que ce soit quelqu'un d'autre qui déclenche le programme.